Publié dans Société

Mort suspecte d’un étranger à Mahajanga - Le corps de la victime couvert  de blessures

Publié le dimanche, 14 juillet 2024


Drame dans le quartier d’Antanimasaja, secteur 3 de Mahajanga, tôt samedi matin dernier. Un ressortissant européen de 73 ans, de nationalité française, selon une source, a été retrouvé mort de façon horrible dans son domicile. Son corps a été retrouvé baignant dans son sang sur son propre lit. A première vue, le sexagénaire avait été probablement assassiné.  Lors d’un constat, de nombreuses traces de blessures occasionnées par un objet contendant avaient été recensées sur sa dépouille. « Il s’agit d’une mort suspecte du fait de ces importantes plaies et surtout de graves hémorragies qui les caractérisent », salon Gabriel Ramahefarivelo, médecin chef du CSB II Antanimasaja.
Des témoins ont affirmé  pouvoir converser encore avec la victime, peu de temps avant le drame. Il s’agit de ce jeune homme, qui est à la fois considéré comme un protégé et gardien mais aussi une colporteuse d’eau au service du défunt sexagénaire. Le premier, c’est-à-dire le gardien a déclaré avoir vu une amie de son employeur lui prendre congé, vers 2h du matin. Et là, c’est le Français lui-même,  qui aurait fermé le portail après le départ de sa compagne. Par la suite, le jeune homme et la porteuse d’eau ont affirmé avoir conversé encore un petit bout de temps avec le maître des céans, et tous les trois avaient regagné chacun de leur côté, leurs appartements respectifs. On ignore réellement ce qui devait se produire par la suite. Mais de source locale, le gardien aurait affirmé avoir entendu un bruit sourd dans la chambre de son employeur.
Et là, pour en avoir le cœur net, l’agent de sécurité a été surpris du constat de l’effusion de sang qui l’attendait et s’offrait à ses vues. Du coup, les autorités locales furent informées du drame. Les Forces de l’ordre et le médecin chef du CSBII dudit quartier se dépêchaient sur place pour constater de visu. Pour l’heure, l’enquête n’est encore qu’à ses débuts et aucun suspect n’aurait été encore arrêté. Enfin, des bribes d’informations glanées auprès des sources ont permis de savoir que le sexagénaire, de son vivant,  aurait reçu les visites de quelques femmes chez lui. Et pourtant, il n’habitait son appartement d’Antanimasaja qu’il y a un an de cela. Et il y vivait seul. L’enquête suit son cours.
Franck R.

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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